Parce que a bout des jours que se allongent, tu devienes de plus en plus inconnu, une ame cache sous mots des que la verite et la messonge et la fantasie et la realite sont-ils de plus en plus difficiles de debrouiller, deux yeux profondes que cherchent autres lieux, des autres cours, deux mains glissant sur des autres corps, que desirent autres visages et autres nommes pour le plaisir, pour rever dans le lit, pour reveiller sous les chantes des oiseaux et pour regarder les arbres fluctuer dans la brise du soir.
Parce que j' ai devenu etrager de moi meme, et etonne, me trouve assis avec une serenite que pleut sur les heures comme colombees qui arrivent en restant sur les plafonds des eglisees, quand sonnent les clochers au dimanche jusqu' avant la tombee et les bons gens arrivent doucement des parcs, des siestes, des maisons malheureux...Tout devient changé, la ville, les rues, la lumiere de la été, les ombres ou j' trouve soulagement et ecoute les chuchotements de l' ame a la solitude, regrettant les choses mettent impossibles, atendant noveaux yeux aussi mettent impossibles ... J' me mettrai en chemin encore... Tu es toujours bienvenue... tu le sais...
lunes, 22 de diciembre de 2008
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